Nous sommes en Avril, soit un mois après le phénomène de la « Journée Internationale du Droit des Femmes ». Arielle, RRH, salue cette journée mais avoue se sentir perplexe. Le contre coup du 8 mars, lui laisse un goût de « sexisme maquillé ». En effet, nombreuses entreprises et marques ont pris contact avec elle en appui à cette journée. Par exemple une structure spécialisée dans les végétaux lui a proposé d’offrir une « rose » à chaque collaboratrice du site en l’honneur de cette journée. Quel est le rapport avec le droit des femmes ? Il est clair que les entreprises s’approprient le sujet pour des fins commerciales. Pourtant, la cause des femmes n’est pas un sujet à prendre à la légère. En cette période, elle a tellement été sollicité qu’elle en vient à se demander si il ne serait pas temps de mettre un barrage au « feminsime washing » dans les structures, pour finalement ne valoriser que des démarches réellement utiles pour faire avancer la société, sur des sujets sexistes avec une réelle valeur ajoutée.

Le « féminisme washing », c’est quoi ?  

Le féminisme whashing, est le principe d’appropriation de la valeur « égalité femme-homme » par les marques et entreprises.  Ce sont des leviers marketings centralisés afin de vous faire croire que vous achetez « éthique » et dans une dynamique de diversité.  

Cependant, le « back to the stage » est tout autre. Soit, parce que la marque se dit irréprochable, alors qu’en interne il n’y aucun principe d’égalité entre les femmes et les hommes. Soit, car elle vous fait croire que votre achat aura un impact positif dans la lutte contre pour l’égalité. En outre, il sera question de structure qui communiqueront à tort sur leurs valeurs, et qui de surcroît, n’auront rien mis en place de concret pour participer au changement de la société.

Eviter le sexisme ordinaire en entreprise ?

Arielle est consternée. Elle qui détient une place très symbolique dans son entreprise, décide de faire bouger les mentalités. Elle se rend bien compte qu’offrir une « petite fleur » en interne, par exemple, ne servira qu’à peu de choses. De plus, elle n’a aucune idée de l’éthique d’où proviennent les nombreuses « solutions » et « objets » qu’on lui prose.  

Finalement, prendre part à ce type de pratiques sans pousser la réflexion amène à deux résultats :

  • Encourager le sexisme en sexisme ordinaire en interne
  • Baisser son image de marque à l’externe

Devons-nous réduire nos collaboratrices à un petit cadeau en la « Journée Internationale Des Droits Des Femmes ? » Cela ferait raisonner les murs de l’entreprise à un prince de sexisme ordinaire. Même très indirectement. Il est certain que derrière le mutisme et les non-dit des collaborateurs, des ébruitements auront lieux à l’externe, réduisant ainsi la marque employeur et notoriété de l‘entreprise, de part des initiatives douteuses et peu engageantes. La place symbolique de RRH que détient Arielle, et conjointement à ses valeurs, il est clair qu’elle ne prendra guerre part au feminsme washing dans sa structure.

Que mettre en place en entreprise, pour lutter efficacement contre le sexisme ?

Arielle a des valeurs. Comme beaucoup, l’égalité femme homme au travail est un sujet qui lui tiens à cœur. Elle désire instaurer une emprunte forte en interne, auprès de tous ses collaborateurs. Leurs ouvrir les yeux, les sensibiliser. Les amener à une solidarité. Une qualité de vie au travail exemplaire. Elle compte bien lutter contre le sexisme ordinaire au travail. Pour cela ? Elle mettra des stops au féminisme washing a toutes les sauces. Son plan d’action est le suivant :

  • Quitte à offrir un petit quelques choses, autant que ça soit à tous ses collaborateurs. Donc, on oublie les roses pour les collaboratrices. De plus, à forte valeur ajoutée au sujet égalité femme homme.  Sinon, à quoi bon ?
  • Veiller à ce que cette initiative provienne d’une entreprise tierce, engagée sur le sujet en interne.
  • De même, à ce que cette mise en place est un impact de sensibilisation appuyé par des labels

Il existe plusieurs méthodes pour effectuer une sensibilisation du sexisme au travail, et encourager les initiatives du 8 mars. Il en revient au RH, RRH, et DRH d’actionner les bons leviers en ce sens. Il en va de leurs image à l’externe.

Reverto, pour lutter efficacement contre le sexisme au travail ?

En effet, Reverto est une start-up engagée qui est une alternative idéale dans ce type de cas. Concrètement, nous utilisons des méthodes modernes, telles que la réalité virtuelle pour former contre le sexisme ordinaire au travail. Eh, non pas de « feminisme washing » nos solutions on été créer spécialement pour prévenir le risques humains. 

Nous utilisons les sciences cognitives pour développer et améliorer ses solutions. Nous avons en interne une docteure en sciences cognitives et travaillons avec le laboratoire ELICO pour mesurer l’impact émotionnel de nos contenus ! Le tout, avec des ingénieurs pédagogiques pour fabriquer nos expériences immersives et ludiques. 

 

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